Le but de ce guide est de donner clairement les meilleures techniques pour améliorer le seo de Wordpress. Dans les faits, WordPress est devenu avec le temps bien plus qu’un simple moteur de blog : un CMS à part entière qu’il est aussi possible de paramétrer en site e-commerce !
Voici les raisons de lire ce guide sur le SEO de WordPress :
Il est disponible à cette adresse : https://refeo.com/guides-gratuits
Avant d’optimiser le seo de Wordpress, il convient de définir les mots clés sur lesquels on vise à améliorer le positionnement du site dans les pages de résultats de Google.
Ne sautez pas cette étape ! Les dernières mises à jour de Google ont radicalement transformé le SEO en réflexion plus globale, notamment en travaillant la richesse des champs sémantiques plus que l’injection brutale de mots clés.
Pour simplifier les choses, vous devez raisonner avec deux types de mots clés : les principaux et la longue traîne. Les mots clés principaux sont ceux que vous visez directement et qui bénéficient d’un volume de recherche élevé. En général si votre référenceur effectue des relevés de positions, ce sont ces mots clés qu’il suit.
La longue traîne est composée de mots clés souvent très longs (3 à 7 mots, voire plus) qui ont un volume de recherche mensuel marginal (moins de 10 par mois) et qui sont de ce fait moins prévisibles.
Comment faire pour travailler la longue traîne en seo avec WordPress ?
Il y a deux axes :
A quoi va servir la longue traîne ?
Si effectivement chaque variante de mot clé n’a que peu de trafic de recherche, la grande variété de la longue traîne permet au final de multiplier des visiteurs qui de surcroît savent ce qu’ils veulent (leur requête étant précise) et qui donc convertissent mieux.
Source :
http://www.olivier-corneloup.com/ressources/dico-referencement/definition-longue-traine/
Pour rechercher les meilleures expressions clés pour une meilleure optimisation SEO de WordPress, vous devez vous donner les objectifs suivants :
Il n’y a pas de petits profits en SEO !
Le générateur de mots clés Google Adwords (dont voici l’url : https://adwords.google.com/KeywordPlanner ) est un outil fantastique au point que je l’utilise presque chaque jour.
A l’origine il sert à préparer une campagne de mots clés publicitaires Google Adwords, mais rien ne vous empêche de l’utiliser pour optimiser le référencement naturel de votre site internet sous WordPress.
Bonne nouvelle : c’est 100 % gratuit, vous avez juste à créer un compte Google Adwords.
Mauvaise nouvelle : c’est peu précis et pas très ergonomique.
Je vous ai mis un exemple de recherche, celle-là même que j’ai mis en œuvre pour la rédaction de ce guide.
Par la suite, vous devez faire le tri en ne retenant que ceux qui correspondent à vos objectifs pour le SEO WordPress et en les priorisant.
L’idéal reste de connaître par cœur ou presque cette liste, pour vous obliger à varier vos mots clés.
Source :
https://adwords.google.com/KeywordPlanner
Vous allez aussi pouvoir faire l’état des lieux des mots clés indexés par Google sur votre site et éventuellement détecter vos points forts (les mots clés sur lesquels vous êtes très présents) et ceux qui sont hors sujet (il y en a toujours).
Pour cela, accédez à la Google Search Console et allez dans le menu Trafic de recherche / Analyse de la recherche
Le titre d’une page ou d’un post WordPress est celui défini par la balise meta title (à ne pas confondre avec le titre h1). C’est la plus importante de toutes les balises pour un expert en référencement naturel. Le titre de la page d’accueil doit donc être particulièrement soigné.
Pour mémoire, le meta titre d’une page internet (WordPress ou autre) n’est pas visible dans le contenu de la page. Il est visible à deux endroits :
Un bon titre va donner envie à l’internaute qui fait une recherche dans Google de cliquer sur votre résultat plutôt qu’un autre !
En référencement naturel, le titre a un poids important, vous devez positionner vos mots clés prioritaires. Idéalement intégrez vos mots clés en début de titre.
Dernier point, la longueur du titre : elle ne doit pas dépasser une cinquantaine de caractères, sinon Google le tronque.
Petite astuce : ne mettez pas votre marque dans le titre, c’est peu utile, sauf si vous avez une marque réellement forte, qui va attirer le clic.
Comment changer la balise titre d’une page dans WordPress ?
Le plus simple reste de recourir au plugin de Yoast : WordPress SEO, qui permet d’accéder d’optimiser le titre d’une page de manière automatique ou manuelle.
Faites l’effort de rédiger votre titres de page à la main. Vraiment !
Si Yoast n’est pas affiché, vous devez l’activer dans vos options d’écrans, comme le montre l’image ci-dessous :
Une fois affiché, la boîte des options de Yoast WordPress SEO se trouve sous la fenêtre de rédaction de WordPress. Voici un exemple pour ce guide sur le SEO de WordPress :
Autre point de détail, Yoast vous permet de choisir le séparateur pour les titres qu’il génère dynamiquement (par opposition à ceux que vous spécifiez manuellement). Tout est ici question de goût, l’option par défait étant le tiret horizontal, simple et efficace :
Yoast propose des points rouges, oranges ou verts pour vous indiquer les optimisations possibles. Globalement elles sont justes, simplement, j’utilise souvent des synonymes à mes mots clés pour couvrir le champ sémantique, donc parfois Yoast me dit que je en suis pas 100 % optimal, mais pour moi c’est suffisant.
Dans le même ordre d’idée que le titre, vous devez soigner votre balise meta description.
Contrairement à la balise titre, la balise meta description n’a pas de réel poids en référencement naturel.
Par contre optimiser son rédactionnel est essentiel, c’est lui qui sera repris si quelqu’un cherche votre nom de domaine. C’est très fréquent et le premier texte qui sera vu par l’internaute après le titre dans la page des résultats de Google sera cette meta description.
Comment optimiser la balise meta description ?
Ici aussi, vous devez utiliser un plugin, Yoast WordPress SEO étant la référence. Cela se passe au même endroit que pour le titre, cliquez sur la partie où se trouve la meta description pour l’éditer. Longueur maximale : 156 caractères.
Conseil de pro pour optimiser la balise meta description (j’en rédige très régulièrement, trop, à mon goût…) :
Utilisez des chiffres (pourcentage, nombres, etc.) et des caractères spéciaux. Pour ces derniers, Google les tronque parfois s’ils sont mis au début de la meta description. Testez une fois la page à jour indexée (cherchez votre site) et modifiez-la cas échéant. Pour assurer du premier coup, j’en mets souvent au milieu. Vous pourrez trouver facilement des caractères spéciaux à l’adresse suivante : http://www.copypastecharacter.com/
Voici l’exemple pour Refeo.com, pour lequel j’ai de petits ronds en début :
Dernière exigence, et pas des moindres : chaque balise meta description doit être différente d’une page à l’autre. Google signale dans la Search Console les balises en double.
Le titre h1 d’une page ou d’un post WordPress doit être unique : il ne doit apparaître qu’une seule fois sur une page. Vérifiez-le en affichant le code de la page en ligne et recherche « h1 » si vous avez plusieurs occurrences, c’est incorrect.
Certains thèmes WordPress utilisent par facilité les titres h1, h2, etc., comme des outils pour styler des contenus (j’ai vu des h1 sur des logos…). Si vous êtes dans ce cas, modifiez le thème, les h1 en doublons sont pénalisants en SEO WordPress.
Ensuite, positionnez-y quelques mots clés, sans excès. Gardez à l’esprit que ce titre sera lu par votre visiteur : vous devez donc en faire un rédactionnel attractif commercialement.
Dernier conseil : le titre ne doit faire que quelques mots, ce n’est pas un paragraphe complet !
Les permaliens sont les urls réécrites des pages ou posts de WordPress.
Accès : Réglages / Permaliens
Cette optimisation du SEO de WordPress sert aussi pour faciliter la vie de vos visiteurs. Dans l’image ci après, vous avez les différentes options possibles :
La première est celle par défaut. Elle a la particularité de toujours exister ! Le paramètre numérique est l’ID du contenu. Vous pouvez le connaître au survol de votre liste de pages ou posts, dans la barre d’état de votre navigateur (en bas en général). Dès que vous sélectionnez un autre formatage d’url, cette url par défaut est redirigée automatiquement en 301 vers l’url réécrite. Vous n’avez rien à faire !
Comment choisir le bon formatage d’url réécrite ?
Je conseille les urls les plus courtes possibles, sans sous répertoire.
En général un tel site ne compte que quelques pages et la gestion des permaliens reste simple. Retenez seulement que deux pages différentes ne peuvent pas avoir le même permalien.
Vous pourriez utiliser les catégories et sous catégories, qui font du sens dans une arborescence. Ce que je n’aime pas dans cette approche est le fait que si vous changer un produit de catégorie, son url directe va être impactée. De même les produits dans plusieurs catégories provoquent du contenu dupliqué. Vous changez le permalien d’une catégorie ? Toutes les urls des posts sont impactées. Même en gérant les choses avec des redirections 301, vous allez arriver à des cascades de 301, pénalisantes pour le SEO de votre site WordPress.
Source :
Les réglages précédents faits, il vous restera à optimiser l’url de vos pages directement sur la page où vous l’éditez. Attention, une fois une page ou un article publié, vous ne devez pas changer l’url sans rediriger l’ancienne vers la nouvelle en 301.
Pourquoi ne pas changer l’url d’une page ancienne ?
Vous subirez deux conséquences négatives :
Et si j’ai VRAIMENT besoin de changer l’url ?
Utilisez le plugin WordPress : « SEO redirections », qui vous permettra de spécifier quelle url doit être redirigée et où elle doit l’être. Contrairement à Yoast WordPress SEO qui lui se paramètre page à page, ce plugin peut travailler sur des urls en 404 et même sur des règles génériques. La version gratuite est largement suffisante.
L’optimisation des balises alt est aussi vieille que le SEO en lui-même. Cela reste d’actualité, mais ne le faites que pour les images essentielles (celles qui font partie du contenu utile de la page). Essayez de caser quelques mots clés, voire même les formes incorrectes orthographiquement (je pense aux accents), sans abuser.
Sauf cas particulier les balises alt ne sont pas visibles, d’où cette tolérance. Variez-les et jouez ici encore la carte du champ sémantique. Le poids des balises étant moindre que le titre ou le h1 en SEO, vous pouvez les utiliser pour cibler les mots clés les moins prioritaires.
Accès : Médias / Bibliothèque / Modifier
Source :
http://dianebourque.com/comment-optimiser-vos-images-dans-Wordpress-pour-le-referencement-et-google/
Dans le même ordre d’idée que les balises alt, les légendes d’images sont une source d’optimisation tant pour le confort du visiteur que pour le référencement naturel. Les légendes ajoutent un texte sous l’image (cela dépend du thème, mais c’est généralement supporté). Ce texte est donc visible donc vous devez utiliser des mots clés corrects…
Ici encore, réservez cette optimisation aux images qui méritent une légende ! Faites-le correctement, vous ajouterez de la qualité à la lecture de votre page. Un visiteur pressé ne lira pas un bloc de texte, par contre il lira les légendes des images.
Ce n’est une surprise pour personne mais le web ce n’est pas que du texte. N’oubliez jamais que Google cherche surtout à juger de la qualité d’un contenu pour savoir s’il doit le référencer. Le fait de proposer autre chose que des blocs de textes indigestes va envoyer à Google un signal de qualité, ce qui va améliorer votre SEO Wordpress.
Voici quelques idées simples pour améliorer vos contenus :
Gardez à l’esprit que toutes les pages ne doivent pas recevoir de telles attentions. Améliorez le référencement de votre site WordPress en travaillant prioritairement les pages à contenu informatif.
Sous WordPress, l’intégration de contenus multimedia reste confortable : utilisez le bouton « Ajouter un media » au-dessus de la fenêtre d’édition de votre post ou page WordPress. Pour ma part j’utilise un plugin qui ajoute à ce même endroit une barre d’outil (un peu redondante avec le menu de WordPress) : TinyMCE Advanced. Ce n’est pas vital, juste plus confortable.
Intégrez des vidéos ou des cartes Google Maps consiste simplement à récupérer un morceau de code et à la copier à l’endroit où vous voulez qu’il apparaisse. Je vous renvoie vers cet article bien fait : https://www.gregoirenoyelle.com/Wordpress-inserer-des-medias-videos-ou-google-maps/
Enfin, l’insertion de chiffres avec des animations n’est réellement faisable qu’avec le plugin adapté ou si le thème le prévoit nativement. En ce qui me concerne, j’utilise Shortcode Ultimate (https://fr.Wordpress.org/plugins/shortcodes-ultimate/). Dans la version gratuite, vous avez les éléments suivants, qui permettent déjà pas mal de libertés :
La version payante (+15$) inclut une quinzaine des shortcodes additionnels (en plus de 60 de base) dont les animations de chiffres :
Les balises h1, h2, h3, h4, h5 et h6 sont destinées à structurer le contenu. Cela permet de hiérarchiser l’information de votre page.
Pourquoi devrais-je faire cet effort ?
Google apprécie les contenus structurés et vous bonifie !
Dans les faits, la structuration est plutôt simple : le h1 en tête de page, unique, compact (quelques mots), puis des sous-titres h2 éventuellement subdivisés en h3. Pour être honnête même pour mes guides sur le référencement les plus longs, je n’utilise que le h1, h2, h3.
Dernier avantage : les tables des matières
Si vous faites l’effort de structurer vos contenus, il existe des plugins WordPress utiles en SEO et capables de vous créer des tables des matières en quelques clics, comme « Table of Contents Plus » (https://fr.Wordpress.org/plugins/table-of-contents-plus/) qui fait parfaitement cet office :
La plupart des thèmes WordPress (gratuits ou non) permettent de choisir le nombre de barres latérales (zéro, une, deux, voire trois) en plus du contenu principal. Ces colonnes s’appellent des sidebars. Vous pouvez aussi en général déterminer leur position (droite ou gauche, cette option dépendant de votre thème).
Ce point n’a pas qu’un impact très minime sur le SEO de WordPress.
En ce qui me concerne, je conseille de ne pas mettre de barre latérale sur les pages « commerciales » (landings, page d’accueil de WordPress, contact, mentions légales, etc.) et de n’en positionner qu’une, à droite, sur les autres pages (blog, articles, etc.).
Pourquoi à droite ?
Parce que les thèmes WordPress responsifs vont, sur un mobile, afficher d’abord le contenu, puis, à la suite, la barre latérale. C’est mieux pour le visiteur qui est d’abord intéressé par le contenu plus que la barre latérale. Ceci réduira le taux de rebond ce qui améliore votre SEO. C’est un détail, mais c’est l’objet même de ce guide sur le référencement naturel de WordPress !
Avec mon thème, cette option se décide sous dans les réglages globaux soit page à page :
Ce point est incontournable pour référencer WordPress !
Désindexer une page consiste à dire à Google de ne pas la mettre dans son index. Il la verra, mais ne la proposera pas dans ses pages de résultats.
Pourquoi ne pas mettre des pages dans l’index de Google ?
L’idée est surtout de ne pas mettre des pages sans valeur, des pages qui sont sans réel intérêt en terme de contenu, mais surtout des pages qui provoquent du contenu dupliqué interne !
Quelles pages peuvent provoquer du contenu dupliqué interne sous WordPress ?
Il y en a quelques-unes : pages de catégories, pages d’archives, pages des auteurs, même la page d’accueil si elle renvoie les derniers articles !
Elles ont en commun de reprendre des articles pour les réorganiser ou les filtrer. Au final, c’est le même contenu : des articles dans un ordre variable…
Je conseille des méthodes assez radicales : n’indexez que les pages, les articles, les catégories.
Tout ce qui est archives, tags (« étiquettes »), posts par auteur et des types de posts spécifiques sans intérêt en terme de contenu (« project attributes », comme le fait mon thème, par exemple) doit être mis en « noindex, follow ».
Comment désindexer ces pages ?
Deux possiblités, toutes les deux avec le plugin WordPress SEO de Yoast :
Note : laissez le paramètre Méta Robots Folow à « Suivre »
Comment détecter un problème de contenu dupliqué interne ?
Ici le nombre est décent (moins de deux fois le nombre de posts) donc c’est raisonnable.
Le maillage interne est une des optimisations SEO de WordPress les moins utilisées et pourtant vous pouvez obtenir de bons résultats avec !
Qu’est ce que le maillage interne ?
C’est le simple fait de faire des liens entre les pages de votre site.
En quoi c’est utile pour le référencement naturel de mon site WordPress ?
Vous pouvez travailler l’importance de votre page et sa thématique sémantique en pointant vers elle des liens internes optimisés (c’est à dire avec des ancres qui sont des mots clés !). Si vous restez raisonnable, Google aura tendance à mettre en avant la page ainsi pointée.
Par contre n’en abusez pas !
Difficile de dire à quel moment Google va détecter une sur-optimisation seo. Une bonne mesure consiste à faire ces liens à l’unité et de ne faire que des liens qui ont un sens.
Comment faire un lien ?
Je vous conseille d’utiliser l’outil intégré à la boîte de rédaction de WordPress et de faire des liens vers des contenus en les recherchant. L’intérêt est d’éviter les fautes de frappes qui créent des liens cassés :
Sources :
http://marketinghack.fr/referencement-Wordpress/
http://blogbuster.fr/seo/bien-referencer-un-blog-Wordpress-sur-google-plugins-et-reglages.htm#8
Vous le constaterez à travers ce guide sur le SEO avec WordPress, je fais l’effort de citer mes sources et de les lier (en « dofollow », sauf exception).
Liez vers d’autres contenus de qualité hors de votre site.
Visez des contenus qui ont un lien réel et pertinent avec ce que vous écrivez.
Dois-je faire des liens vers mes concurrents ?
Oui, je sais c’est un crève-coeur… Techniquement, oui, c’est mieux. Mais psychologiquement, c’est un traumatisme. A voir avec votre psychologue préféré.
Le chapeau c’est le début d’un contenu qui doit vous donner envie de lire la suite. C’est utile pour réduire le taux de rebond et… utile en seo pour insérer en tête de contenu des mots clés ! Priorisez tout de même l’intérêt pour le lecteur.
Dernière astuce pour les chapeaux : formatez-les d’une manière un peu différente pour dynamiser la mise en page.
Sources :
http://camillelatouche.com/ecrire-article-Wordpress-optimise-seo-referencement/
http://avisdupublic.net/critique/divers/tuto/rediger-chapeau-article-web/
La première des optimisations que vous devez faire est de ne pas lister par ordre chronologique vos posts sur la page d’accueil. C’est hélas le réglage par défaut de WordPress et il est contre-productif… Simplement parce que la page la plus importante d’un site est la page d’accueil est que vous commencez par la truffer de contenu dupliqué éventuellement multithématique.
Ce conseil n’est pas un pur conseil d’optimisation du SEO de WordPress. C’est plutôt une pratique que je recommande aux agences de création de sites avec lesquelles je travaille.
Le call to action (CTA pour les intimes) est un élément de la page qui va inciter un visiteur à effectuer une action (généralement, cliquer sur un bouton ou remplir un formulaire).
Aujourd’hui un internaute moyen va à l’essentiel, autant faire en sorte que cet essentiel soit utile au site.
Pour moi, sur un site vitrine sous WordPress, le haut de la page d’accueil doit contenir les éléments suivants :
Comment rédiger une « Unique Selling Proposition » accrocheuse ? Elle doit :
Le référencement d’un site wordpress requiert du contenu et la page d’accueil n’échappe pas à cette règle !
Sans aller aussi loin que je peux le faire pour Refeo.com, je vous conseille de présenter votre offre dans un texte de 300 mots minimum (c’est un chiffre sur lequel s’accordent la plupart des SEO, mais il n’a jamais été prouvé !).
Placez ce texte où vous le pouvez et essayer d’en faire un contenu utile commercialement parlant. Vous pouvez par exemple dire en quoi vos produits sont utiles pour vos clients…
Pour le référencement naturel de la page d’accueil de WordPress, l’essentiel reste de bien exploiter tout le champ sémantique.
Ne suroptimisez pas ! Ecrivez un texte cohérent en bon français sans abuser des mots clés.
Le titre de la page d’accueil s’optimise de la même manière que celui de toutes les autres pages. Il a cependant une particularité cruciale : si un internaute cherche votre marque ou nom de domaine, Google va renvoyer la plupart du temps votre page d’accueil et donc son titre comme réponse !
Les recherches « Brand » (liées à la marque) sont fréquentes et réalisées par des internautes intéressés par votre entreprise. Vous devez faire bonne figure !
Ici aussi et pour les mêmes raisons que le titre de la page d’accueil vous devez faire un effort de rédaction !
Le titre h1 de la page d’accueil de votre site WordPress a une double vocation : optimiser le référencement naturel de WordPress et résumer en quelques mots votre « Unique Selling Proposition ».
Prenez le temps de le soigner, il sera forcément lu à un moment ou un autre par vos visiteurs.
Sauf contrainte technique majeure, l’url de votre page d’accueil WordPress doit ressembler à https://www.refeo.com ou https://refeo.com. Les variantes du type : « monsite.com/accueil » sont à proscrire. C’est anti ergonomique, cela oblige à faire des redirections, bref, on peut s’en passer !
Pour modifier cela, l’accès se fait par Réglages / Général / Adresse Web de WordPress. Pour la très grosse majorité des sites, la configuration se résume à celle-ci :
Les catégories ont pour vocation d’organiser un blog riche ou multi-thématique. Vous pouvez les afficher pour l’utilisateur ou les utiliser uniquement pour une gestion dans le backoffice de WordPress.
Pour des petits sites mono thématique, je pense que ce n’est pas nécessaire de les rendre visibles pour le visiteur. Au final, en terme d’ergonomie c’est plus simple.
L’avantage SEO d’utiliser des catégories est de structurer le site. Si votre WordPress parle de beaucoup de choses différentes, l’usage des catégories va permettre de structurer le site en silo.
Un silo (je en parle plus loin dans ce guide sur le seo de WordPress) est un sous ensemble de pages du site relativement étanche : les silos sont peu liés entre eux alors qu’à l’intérieur du silo, les pages sont très liées (et hiérarchisées). C’est typiquement l’optimisation utile pour des blogs WordPress multithématiques (imaginez un blog WordPress traitant des sujets suivants : mode, santé, beauté, voiture, par exemple).
Notez enfin que les pages n’ont pas de catégorisation, elles peuvent seulement être hiérarchisées entre elles.
Pour optimiser les permaliens WordPress des catégories, donnez-leur un identifiant court mais lié à votre thématique. Pour refeo.com, lorsque j’utilisais des catégories dans mes urls, j’avais « seo », « sea », « webmarketing », etc.
Le nom complet de la catégorie peut être plus explicite, ce n’est pas un problème.
Pour paramétrer cela, allez dans Articles / Catégories / [la catégorie à modifier] :
WordPress est un CMS absolument extraordinaire, certes, mais de temps à autres il a de mauvaises habitudes… Par exemple, il ajoute parfois /category/ entre votre nom de domaine et la catégorie en question dans l’url.
C’est moche et inutile.
Bonne nouvelle, si les réglages des permaliens que vous avez choisi dans Réglages / Permaliens ne corrigent pas le problème, vous pouvez demander à Yoast WordPress SEO, votre plugin SEO préféré, de corriger le tir : allez dans SEO / avancé / Permaliens et cochez la case : « Retire la base de la catégorie (généralement /category/) de l’URL de la catégorie. »
Autre « bug » méconnu de WordPress pouvant conduire à du contenu dupliqué nocif au seo de votre site WordPress, l’imbrication de noms de catégories dans les urls.
Comment ce bug se manifeste-t-il ?
Dans certaines configurations, les urls du type monsite.com/cat1/cat2 et monsite.com/cat3/cat2 renvoie toutes les deux vers la même page, ce qui crée 2 urls pour 1 seule page et donc du contenu dupliqué…
La bonne nouvelle ! 2 solutions existent !
Autre petit désagrément à votre programme de référencement de WordPress, les articles appartenant à de multiples catégories… Si vous pouvez éviter cela, tant mieux. Si malgré tout vous aimez vivre (un peu) dangereusement, le problème sous-jacent est encore lié à du contenu dupliqué…
Si votre article appartient à cat1 et cat2, il sera accessible par l’url monsite.com/cat1/article et monsite.com/cat2/article. Ici encore, 2 urls pour une même page. Contrairement au point évoqué précédemment, celui-ci arrivera fort probablement.
Les solutions ?
Petite remarque de terminologie : les tags WordPress sont désormais appelé des étiquettes. Et comme je n’aime pas le changement, je mélangerai allègrement les deux.
A la base, conseil d’expert SEO, vous ne devriez pas utiliser les tags. C’est une pratique qui a été tellement abusée par les référenceurs que Google s’en méfie.
Pourquoi ?
Il suffisait d’y mettre tous ses mots clés pour être sûr qu’il fussent vu sur toutes les pages du site, sans effort.
Alors quand utiliser les tags ?
Si vous pensez que vos visiteurs peuvent bénéficier en terme d’ergonomie des tags, alors utilisez-les. Si ce n’est qu’afin d’optimiser le référencement de WordPress, oubliez !
Pour ceux qui voudraient apprendre à gérer en finesse les tags de leur site WordPress, voici la meilleure ressource sur le sujet :
http://www.travelplugin.com/astuces-referencement-blog-voyage-wordpress/
Source :
http://www.instinct-blogueur.com/tag-wordpress/
Si malgré cela vous mettez en place des tags, lisez cet article :
http://www.instinct-blogueur.com/tag-wordpress/
Toujours motivé ? OK !
Créez un nombre réduit de tags. « SEO », « référencement » et « référencement naturel » sont redondants ou trop vagues.
Vous devez parcourir l’ensemble de vos tags et voir si vous pouvez en fusionner voire en supprimer ! Si un tag ne renvoie que vers un article, il y a de forte chance que vous puissiez améliorer cela.
Après toutes ces recommandations, si vous avez la possibilité d’optimiser vos tags pour qu’ils correspondent à vos mots clés, faites-le !
Utilisez vos priorités. Si, par exemple, si « seo » a plus de recherche que « référencement naturel », alors privilégiez « seo ». C’est dans les faits la seule véritable optimisation SEO que vous pouvez faire sans risque.
Comme le signalent ces deux excellents posts sur le sujet :
http://www.seomix.fr/problemes-mots-cles-wordpress-en-referencement/
http://blog.axe-net.fr/utilisation-tags-wordpress/
l’inconvénient #1 des tags WordPress reste le contenu dupliqué interne.
Pourquoi les tags posent des problèmes de contenu dupliqué ?
Simplement parce que 1 tag = 1 page créée, qui reprend la liste des posts associés à ce tag. Aucun contenu addtionnel (tout est déjà visible ailleurs) donc c’est du dupliqué.
Comment éviter le contenu dupliqué lié aux pages de tags sous WordPress ?
La réponse est simple : ne pas les indexer. Ici encore c’est le plugin de Yoast WordPress SEO qui vous en donne la possiblité.
Cette option se trouve dans SEO / Titres & Métas / Taxonomies / Etiquettes, vous n’avez qu’à cocher la bonne case.
Si vous n’utilisez aucun tag, cette option n’a aucun impact.
C’est une erreur de moins en moins fréquente mais l’utilisation d’un h1 pour le logo est à proscrire. Si votre thème WordPress utilise ce genre d’artifices, brûlez-le en place publique. Oui, rien que cela.
Comment vérifier que le le logo n’est pas dans une balise h1 ?
Ouvrez simplement une page de votre site qui affiche votre logo. Affichez le code source (CTRL+U ou clic droit et « afficher le code source de la page ». Ensuite faites une recherche (CTRL+F) sur le texte « h1 ». Si l’url de votre logo est entre les balises <h1> et </h1>, c’est que votre thème a ce problème.
Ce n’est pas le cas ? Continuez !
C’est le cas, plusieurs solutions :
Et voilà !
Si vous le pouvez, soignez la balise alt de votre logo, avec votre mot clé prioritaire. Ce n’est pas toujours simple car cela dépend du thème. En ce qui me concerne, sur Refeo.com, le logo est uploadé par les médias de WordPress mais la balise alt est renseignée directement par le thème, sans que j’ai la main dessus.
J’ai fait l’essai :
A vous de voir si vous le pouvez. Je ne conseille pas de modifier en dur le code source car c’est trop d’effort pour une optimisation à faible impact.
Ici encore, c’est plus une question d’ergonomie que de SEO pur et dur.
Liez votre logo à la page d’accueil du site. L’avantage – minime – pour optimiser le seo de WordPress est de donner un poids maximal à la page d’accueil, ce qui aura pour conséquence de donner aussi plus de jus aux liens qui en partent et de la faire se positionner plus facilement dans les page de résultats. Rien de transcendant mais j’aime bien donner du poid sà la page d’accueil car on peut ensuite bien la travailler d’un point de vue commercial.
Le logo de votre site WordPress être chargé sur toutes les pages du site. Autant l’alléger au maximum, c’est un détail qui finit par avoir son importance !
S’il est au format jpg, compressez-le (j’en parlerai dans la partie qui parle de l’optimisation seo des images).
S’il est au format png (pour la raison qu’il a des transparence, sinon utilisez du jpg), réduisez-le à la dimension la plus petite possible, vous ne pouvez pas faire grand-chose de plus…
Le favicon est la petite image qui s’affiche dans la barre d’adresse du navigateur. Elle ne sert surtout qu’à mettre en avant votre identité visuelle.
En terme de seo j’ai tendance à penser que la présence d’un favicon permet d’envoyer un mini signe de qualité à Google. Rien de solide, mais on va dans le bon sens.
Comment insérer un favicon dans WordPress ?
C’est souvent lié à votre thème, donc cherchez de ce côté.
Sur le thème que j’utilise actuellement sur Refeo.com, c’est dans les options du thème :
Les menus de WordPress sont très bien faits et faciles à travailler : c’est une opportunité d’optimiser le seo de WordPress dont on ne va pas se passer !
Comment faire ?
Comme toujours, priorité à l ‘ergonomie du visiteur. Vous pouvez jouer sur deux choses :
Notez par ailleurs qu’en dehors de la page contact (volontairement épurée), les pages qui reçoivent ces liens sont riches en contenu.
Trop riche ? C’est possible, mais je fais mes expériences !
Les megamenus sous WordPress sont des menus qui affichent une arborescence très profonde du site.
Les avantages :
+ confort de navigation (tout est visible)
+ moins de clics pour arriver à la bonne page
+ [seo] plus de liens faisables
Les inconvénients :
– beaucoup de lecture pour un visiteur ! Requiert une organisation sans faille
– [seo] dilution du poids des liens
– [seo] réduit l’efficacité du siloing (les thématiques en silo sont moins isolées les unes des autres)
Au final c’est une question de compromis. Sur du e-commerce j’ai tendance à penser que les avantages ergonomiques pèsent plus que les inconvénients de référencement naturel. Sur un site vitrine, souvent moins vaste, vous ne devriez pas avoir besoin de ce genre de menus…
Un plan de site html est une page visible par un internaute qui voudrait visualiser d’un coup d’oeil l’organisation du site. Cette étape n’est réellement à faire que dans les cas suivants :
Ces deux cas de figure sont assez rares dans la pratique et vous ne devriez pas avoir besoin d’un plan de site si votre navigation est correctement conçue. WordPress offre des outils de menus, de widgets, de pieds de page suffisamment puissants pour organiser correctement votre site.
Le plan de site xml est lui très utile… et plus simple à construire ! Il sert à s’assurer que les pages utiles vont être indexées. De manière générale, vous allez intégrer les contenus suivants : posts et pages. Vous pouvez aussi indexer vos fichiers joints (images, vidéos hébergées sur votre site WordPress, fichiers pdf…).
Pour commencer la configuration, rendez-vous aux réglages de Yaost WordPress SEO suivants : SEO / Sitemap XML / Généraux.
Cochez la case : « Cocher cette case pour activer la fonctionnalité sitemap XML ».
Pour ce qui est du nombre d’entrée, si votre site comporte réellement beaucoup d’items, vous devez augmenter cette valeur en prenant de la marge, au pire votre serveur travaillera un peu plus à chaque insertion d’article.
Ensuite, allez à SEO / Sitemap XML / Sitemaps utilisateurs.
Là, vous pouvez ou non prévoir un sitemap xml WordPress pour les auteurs. Pour moi, cela n’a pas d’utilité : la plupart des sites sous WordPress sont mono auteur ou présentent un nombre limité d’auteurs.
Ensuite : allez à SEO / Sitemap XML / Types de contenus.
Vous n’aurez pas forcément les mêmes entrées que moi (hormis Articles et Pages), ces entrée dépendant des types de contenu prévu dans votre site (les miens sont liés au thème que j’utilise). Attention, laissez bien décoché ce qui DOIT être inclus dans les sitemaps.
Ensuite : allez à SEO / Sitemap XML / Articles exclus.
Vous pouvez ici ne pas faire apparaître un article donné dans le sitemap. Notez que le fait qu’il ne soit pas dans le fichier sitemap ne vous garantit en rien qu’il ne sera pas indexé, loin de là. Cette option sert éventuellement à faire en sorte que les petits malins n’aillent pas voir votre sitemap pour WordPress et trouve des article que vous auriez masqués pour diverses raisons.
Enfin : allez à SEO / Sitemap XML / Taxonomies.
Attention, ici aussi vous cochez ce qui n’a pas lieu d’être indexé. J’ai laissé les catégories, le reste ne m’intéresse pas.
Oui, je sais, dans la partie qui traite de l’optimisation seo du pied de page de WordPress, on peut être surpris d’y voir Google MyBusiness. Au final, peu importe : ouvrez un compte Google MyBusiness. Rien n’a prouvé l’impact en terme de SEO mais cela apporte plusieurs avantages :
L’ouverture du compte n’est pas ce qu’il y a de plus simple, mais le jeu en vaut la chandelle. Une fois le compte ouvert, vous allez recevoir par la poste un courrier avec un code, saisissez-le dans l’interface, cela finalisera votre inscription. Voici en image ce que cela apporte (j’ai tassé l’image pour ce guide sur le référencement de WordPress, mais sur un écran d’ordinateur, c’est vraiment visible :
Je trouve que le pied de page est un bon endroit pour indiquer vos coordonnées (adresse, téléphone, etc.), en plus d’une page contact dédiée. Utilisez les microformats pour indiquer qu’il s’agit d’une adresse postale. Si vous avez déjà ouvert un compte Google MyBusiness, vous pouvez vous en passer.
Ce n’est pas ce qu’il y a de plus simple à implémenter, mais pour les courageux, voici les bons liens :
http://www.seomix.fr/microformats-microdata-wordpress/
http://schema.org/LocalBusiness
Ici encore, rien ne prouve que le fait d’indiquer un numéro de téléphone va améliorer le référencement naturel de votre site WordPress. Cette optimisation fait partie de la longue liste des signaux positifs que vous pouvez utiliser sans trop de difficultés et qui ne peuvent pas nuire à votre seo.
Indiquez donc simplement un numéro de téléphone, au pire vos futurs clients vous appelleront !
Toujours dans la longue liste des optimisations seo pour WordPress peu complexes mais probablement utiles, le fait d’avoir des pages d’informations sur votre entreprise (CGV, qui sommes-nous, contact, protection des données, etc.). Pour affirmer cela je me base sur le fait que dans Google Adwords, la présence d’une politique de confidentialité est une exigence imposée à la page d’atterrissage de la campagne publicitaire si elle contient un formulaire.
Deuxième point, ce genre de page est visitée beaucoup plus souvent qu’on ne le croit et une réelle volonté de transparence vous aidera à rassurer vos visiteurs.
Profitez aussi du pied de page de WordPress pour lier votre plan de site html (si vous avez choisi d’en avoir un !). Cela lui donnera un poids seo plus important par la simple conséquence du maillage interne.
Il fut un temps, pas si lointain, où le fait d’avoir des mots clés dans son nom de domaine accordait un bonus SEO conséquent. De manière générale, ce n’est plus vrai.
Alors comment choisir un nom de domaine optimal ?
Commencez par penser à vos visiteurs ! Un bon nom de domaine :
Petite astuce : si vous êtes sûr de conserver votre site pour plusieurs années, réservez le nom de domaine pour plusieurs années !
Pourquoi ?
Simplement parce que les spammeurs ne le font pas, pour des questions de coût. Ce qui est un premier critère de qualité d’un site. Rien ne prouve réellement que Google en tienne compte, mais c’est un premier pas dans la bonne direction !
Sauf cas exceptionnel, vous ne devez pas anonymiser complètement le whois de votre site. Utiliser un mail de redirection (comme le propose OVH) pour éliminer le spam, oui, mais une anonymisation complète reste à proscrire.
Source :
https://www.ovh.com/fr/domaines/service_owo.xml
Choisissez les bonnes extensions : .com et .fr. A la limite : .net, .org, .eu. Toutes les extensions trop exotiques (.travel, .pro…) sont à éviter tant pour Google (qui s’en méfie parfois) que pour les internautes, peu avides de changements technologiques.
Dans le même ordre d’idée vous devrez utiliser l’extnesion géographique d’un pays que si votre clientèle s’y trouve. Un site (wordpress ou autre) en .fr aura énormément de mal à se positionner en dehors de la France.
Si vous avez des visées internationales, le .com reste de loin la meilleure des options. La véritable difficulté étant de trouver un nom de domaine correct… Qui soit libre !
En voulant bien faire, certains webmasters achètent toutes les variantes d’un nom de domaine (avec ou sans tiret, en .fr, .net, .com, etc) et redirigent tout vers le site principal.
Pourquoi éviter les domaines mirroirs ?
Simplement pour ne pas avoir de problème de contenu dupliqué externe. Google déteste cela !
Ne soyez pas votre propre concurrent !
Les www en sous domaine sont une pratique archaïque qui n’a plus réellement d’intérêt… Si vous avez envie d’un adresse du type www.monsite.com plutôt que monsite.com, libre à vous ! Assurez-vous de gérer le paramétrage correctement, sous peine de contenu dupliqué interne…
Ma préférence va au non www, plus court.
Ce que Google aime à peine moins que le contenu dupliqué externe.
3 choses à faire pour bien paramétrer le www ou non d’un site :
Source :
http://dense13.com/blog/2008/02/27/redirecting-non-www-to-www-with-htaccess/
Grosse astuce de professionnel du seo : avant d’installer votre site, entre le moment où vous avez réservé le nom de domaine et le moment où vous installez votre site wordpress, mettez un contenu d’attente.
Que mettre comme texte ?
Décrivez votre métier, l’idée est de fournir à Google un contenu qui indiquera la thématique de votre site. Vous gagnerez autant en terme d’ancienneté une fois le site en place…
Si vous êtes pragmatique, vous pourrez sans problème laisser ce texte en fin de page d’accueil.
Rien ne se perd en SEO !
Google veut rendre le web rapide. Un site lent est pénalisé, vous devez donc travailler la rapidité du site. Pour faire l’état des lieux, allez dans le Google Search Console (https://www.google.com/webmasters/tools/home?hl=fr) et dans le sous menu « Exploration / Statistiques sur l’exploration ». Le dernier graphique vous donne les temps mis pour afficher les page. Plus c’est bas mieux c’est.
Pour apprécier si votre site est rapide ou lent, naviguez dessus avec un navigateur dont vous avez vidé le cache préalablement. Soyez objectif, même si vous aimez votre site, vous devez être capable de déceler de la lenteur.
Vous pouvez aussi utiliser WebPageTest.org (http://www.webpagetest.org/) en configurant l’outil depuis Paris si vous êtes français. Au delà-de 4 à 5 secondes pour le premier chargement, vous devez prendre tout ou partie des mesures que j’indique par la suite.
Enfin, vous pouvez demander à Google : https://developers.google.com/speed/pagespeed/insights/ ce qu’il en pense…
A titre d’information, voici les résultats pour Refeo.com :
Pour moi c’est juste moyen, je pense pouvoir faire mieux, c’est un de mes chantiers à venir.
Vous voulez voir ce qu’est un site rapide en terme de navigation ? Suivez le guide : http://www.thinkrosystem.com/accueil . Et pourtant PageSpeed le note assez mal !
La mise en cache, sur le papier c’est simple. Vous préchargez une page et renvoyez cette page aux visiteurs jusqu’à ce qu’elle change. Le chargement est plus rapide simplement car il y a moins de ressources à mobiliser, notamment les appels en base de données.
Le gros problème de tout ce qui est mise en cache est finalement de configurer cette gestion du cache. Plusieurs possibilité existent, en voici deux :
1) W3 Total Cache : l’usine à gaz mais gratuit. Prévoyez quelques heures pour le configurer en détail si vous n’avez pas l’habitude. (https://fr.wordpress.org/plugins/w3-total-cache/)
2) WP Rocket : nettement plus simple d’accès mais payant. C’est celui que j’utilise et il me satisfait. Parfois j’aimerais quelques options de plus, mais le plugin est efficace (http://wp-rocket.me/fr/).
Source :
http://www.memoclic.com/1862-wordpress/18606-wordpress-plugins-seo.html
C’est souvent le premier réflexe pour optimiser la rapidité d’un site que de remettre en cause l’hébergement. C’est vrai, mais c’est loin d’être la seule cause de ralentissement !
Difficile a priori de prédire les performances d’un hébergement. En général, les hébergement peu chers sont aussi peu efficaces. Investissez un peu et choisissez des offres où la vitesse est mise en avant. Oubliez les hébergements gratuits, c’est VRAIMENT une perte de temps.
Chaque page affichée génère de nombreuses requêtes en base de données. Sur un petit site, l’impact est modéré, mais sur des sites WordPress anciens et riches, les bases peuvent se remplir et ralentir le site.
Objectivement, il est difficile de faire le ménage dans les bases. Vous pouvez agir sur deux ou trois tables :
Pour corriger cela un plugin permet de nettoyer les vieilles versions :
https://fr.wordpress.org/plugins/better-delete-revision/
Je suis fan des thèmes premiums. Pour quelques dizaines d’euros vous avez un thème qualitatif optimisé et souvent éprouvé.
Pour améliorer le référencement naturel de WordPress un bon thème se doit avant tout d’être un thème rapide. Ne vous fiez pas à celui que j’utilise (pour combien de temps encore) sur Refeo.com, Salient, je le trouve un poil lent (il est excellent par ailleurs !).
Alors comment savoir si un thème est rapide avant de l’acheter ?
Regardez si on vous parle de rapidité. Plus c’est placé haut dans le liste mieux c’est !
Simple, non ?
Les meilleures polices sont celles du web par défaut, ne cherchez pas à les multiplier. Une police en plus, c’est un téléchargement en plus. Faites simple, une police de base et éventuellement une pour les titres. Pas plus !
Si vous avez des plugins dont vous ne vous servez pas, désactivez-les !
Si vous avez des plugins dont vous vous servez peu, trouvez comment faire sans et désactivez-les.
Sur Refeo.com, je tourne avec environ 34 extensions activées, dont 17 pour le front office. C’est beaucoup, mais j’essaie encore de les réduire…
Là je ne parle plus de performance brute, uniquement « d’uptime». Un bon serveur ne doit pas être hors ligne. Un site qui n’est pas accessible pose un problème de qualité à Google et cela peut impacter sur le référencement naturel du site WordPress (ou de tout autre site).
Comment surveiller la stabilité du serveur de mon site ?
Il y a différentes solutions :
Dois-je payer pour un service de monitoring de site ?
Réponse courte : non pour un site normal, oui pour un site critique.
Réponse longue : si vous avez un site vitrine avec quelques visiteurs par jour, les versions gratuites des services de monitoring suffiront largement : une vérification toutes les 15 ou 30 minutes reste utile. Si vous avez un site « critique », vous devez avoir une analyse plus fine, toutes les minutes, par exemple. Pour moi un site critique est un site à fort trafic ou un site e-commerce avec des commandes en nombre (plusieurs dizaines par jour).
La minification consiste à compacter les éléments de code pour réduire leur poids (en supprimant les sauts de lignes, les commentaires, etc.). La concaténation sert à fusionner des fichiers, ce qui limite les téléchargements.
Sous WP Rocket, vous disposez des options suivantes :
Pour résumer l’avertissement en rouge, cela peut provoquer des problèmes de conflit. Activez les options une à une jusqu’à constater des problèmes (menu qui ne s’affiche pas, images mal placées, formulaire hors service…).
Essayez au final de tout utiliser, pour gagner quelques précieuses millisecondes.
Un flux rss est généré par défaut sous WordPress à l’adresse suivante : votresite.com/feed . Le flux rss sert à beaucoup de chose, notamment :
A titre personnel, je ne m’en sers pas, mais l’optimisation du seo de wordpress passe aussi par la gestion du flux rss.
Ce que vous devez savoir est le risque de contenu dupliqué. Si un site reprend (sans vous le dire en général) votre flux et le republie intégralement, vous risquez de le voir devant vous dans Google alors que vous avez fait tout le travail ! Frustrant !
La solution la plus simple est de n’envoyer dans le flux rss que l’extrait.
Ce paramètre se configure à Réglages / Lecture, choisissez l’option « extraits » :
Ceux pour qui ce point est important peuvent aller plus loin et découper leur flux RSS :
http://pix-geeks.com/creer-flux-rss-coupe/
http://pix-geeks.com/flux-rss-paperblog-backlinks/
http://www.geekpress.fr/wordpress/extension/backlinks-flux-rss-1827/
Même si je tends à oublier de le faire, l’usage de la balise « more » (« lire la suite ») va permettre de couper vos contenus après le début (l’idéal étant juste après le chapeau). L’idée est de donner envie de lire la suite. En terme de SEO, l’intérêt est de couper le contenu que vous aller envoyer dans le flux RSS et limiter ainsi les problème de contenu dupliqué… Cette balise forcera l’extrait envoyé dans le flux rss à être coupé au niveau de la balise more et pas comme WordPress le voulait. Editorialement, c’est mieux !
Si vous savez que votre flux rss WordPress est repris par d’autres sites ou votre site est inscrit dans des annuaires permettant l’ajout de flux rss, autant ajouter des liens vers votre site.
Méthode douce : un lien vers le post en lui-même. J’utilise le réglage par défaut de Yoast WordPress SEO, qui me suffit amplement. Vous y accédez par SEO / Avancé / RSS.
Méthode brutale : injecter dans le flux pour un article des liens vers d’autres articles : c’est plus de backlink sans effort ! Utilisez le plugin Yet Another Related Posts Plugin (https://fr.wordpress.org/plugins/yet-another-related-posts-plugin/)
Un réglage permet à wordpress d’indiquer aux moteurs de recherche de ne pas indexer le site. Dans un guide sur le seo de WordPress, vous pensez que je vais vous dire de décocher cette case (à laquelle vous accédez par Réglages / Lecture)
Evidemment, cette option doit être décochée quand le site est en production.
Qu’en est-il pendant le développement du site ?
Soit vous avez suivi mon conseil et mis du contenu en attendant et vous devez laisser Google indexer le site.
Soit vous n’avez pas de contenu (le lorem ipsum n’est pas considéré comme du contenu !) et vous devez le désindexer le temps que du contenu arrive.
Si vous avez décidé que les vidéos que vous affichez requièrent un plug in additionnel autre que Flash, (tel Silverlight), c’est mal.
Hormis le Flash, qui finira bien par mourir, vous ne devez pas demander à votre visiteur d’installer des plugins. D’un point de vue SEO, ce sera meilleur.
Si votre site est touché par un virus, les conséquences peut aussi impacter les référencement naturel de WordPress. Evidemment vous devez nettoyer ce qui doit l’être et protéger votre site contre ces attaques.
Si vous voulez savoir si votre site est touché, Google Search Console vous l’indiquera.
Autre solution : le tester sur https://www.google.com/transparencyreport/safebrowsing/diagnostic/ :
Attention, ce résultat signifie que Google ne voit pas de virus, pas que vous n’en avez pas !
Le fichier robots.txt est un outil fort efficace pour optimiser le seo de WordPress.
Il y a deux écoles : le fichier restrictif, qui vise à désindexer certains fichiers dont Google ne devrait pas avoir besoin.
Le fichier robots.txt de WordPress se modifie avec Yoast WordPress SEO par cet accès : SEO / Outils / Editeurs de fichiers
Si cette option ne fonctionne pas pour vous (elle ne fonctionne pas pour moi…), il existe un plugin léger : WP Robots txt.
La modification se fera alors par Réglages / Lecture :
Dans ce cas, le contenu sera proche de celui-ci :
User-agent: *
Disallow: /cgi-bin
Disallow: /wp-login.php
Disallow: /wp-admin
Disallow: /wp-includes
Disallow: /wp-content/plugins
Disallow: /wp-content/cache
Disallow: /wp-content/themes
Disallow: /category/
Disallow: */trackback
Disallow: */feed
Disallow: */comments
Disallow: /*?
Disallow: /*.php$
Disallow: /*.js$
Disallow: /*.inc$
Disallow: /*.css$
Disallow: /*.gz$
Disallow: /*.swf$
Disallow: /*.wmv$
Disallow: /*.cgi$
Disallow: /*.xhtml$
Pour en savoir plus, visitez ces liens :
http://www.geekpress.fr/wordpress/astuce/fichier-robots-txt-optimise-wordpress-503/
http://www.eskimoz.fr/wordpress-optimisez-la-configuration-de-votre-fichier-robots-txt/
La seconde école vise à ne pas s’en préoccuper. Ce n’est pas uniquement un manque de courage, mais j’ai remarqué dans le Google Webmaster Tools, Google mettait des avertissements lorsqu’il n’était pas autorisé à indexer du css ou le thème (il parle de « Ressources bloquées ») :
vous pouvez alléger le code ci-dessus ou carrément l’ignorer
J’avais ce problème, je l’ai résolu en nettoyant mon fichier robots.txt de WordPress :
Sources :
http://www.geekpress.fr/wordpress/astuce/fichier-robots-txt-optimise-wordpress-503/
http://www.eskimoz.fr/wordpress-optimisez-la-configuration-de-votre-fichier-robots-txt/
Essentiel !
Pour ceux qui ne l’auraient pas encore lu :
Essentiel !
WordPress a cet énorme avantage de pouvoir changer sans trop de mal le thème. Si votre site bénéficie d’un thème responsive (en Français on parle de thème adaptatif ou mobile), parfait, vous pouvez passer à la suite.
Si vous n’avez pas un site WordPress responsive, faites-vous à l’idée que votre site ne sera pas vu dans les résultats de recherche de ceux qui utilisent leur smartphone. Cette proportion grandissant avec le temps, votre trafic va diminuer avec le temps. Triste perspective, non ?
Mettez un thème WordPress responsif et passez à la suite de votre seo pour WordPress !
Si vous avez un site et ne savez pas s’il est mobile friendly, faites ce test :
https://www.google.com/webmasters/tools/mobile-friendly/?hl=fr
Si vous doutez encore de ce point, voici de quoi vous convaincre :
http://fr.slideshare.net/olivierandrieu1/2015-seocampusmobile1
http://www.axellesdigital.fr/blog/google-penalise-les-sites-non-responsive/
Evitez les urls en 404. Cela nuit aussi au référencement naturel de WordPress.
Une url en 404 est une url qui renvoie une erreur 404, signifiant que la page demandée n’existe pas.
Je suis soigneux, je n’ai pas de 404
Etes-vous sûr ?
Les 404 peuvent survenir dans pleins de cas de figure :
Refeo.com n’est pas un modèle du genre, car je n’hésite pas à modifier ce qui doit l’être et Google parfois trouve « quelques 404 » :
Pour faire le point sur vos erreurs 404 avec votre site WordPress, utilisez Google Search Console et rendez-vous dans Exploration / Erreurs d’exploration
Comment traiter les 404 ?
Essentiellement par trois moyens :
Si vous avez fait le choix d’un certificat SSL (notamment parce que Google a indiqué qu’il attribuerait un bonus…), assurez-vous au moins qu’il soit valide. Ce genre de chose expire, donc soyez rigoureux. Un certificat SSL non valide ou non signé est probablement pire que pas de certificat du tout…
L’adresse IP de votre site est liée à votre serveur. Si vous visez un public français, l’idéal est d’avoir un site géolocalisé en France. Ce n’est pas vital (les calamiteux 1&1 sont en Allemagne), mais c’est toujours un petit plus.
Là où cela devient critique, c’est pour la rapidité du site. Si vous visez un public américain et que votre hébergement est en France, vous ne verrez pas que le site est lent. Vos visiteurs, eux, oui !
Le fil d’Ariane (ou Breadcrumb) permet à l’internaute de se repérer dans l’architecture du site en lui montrant où la page qu’il visite se trouve dans l’arborescence. Cela prendra souvent la forme d’hyperliens qui pointent vers les pages supérieures, par exemple Accueil > Catégorie > Sous-Catégorie > Page.
En référencement naturel, on se sert du fil d’Ariane pour densifier et structurer le maillage interne du site. C’est l’outil de base de la mise en place de silos.
Si votre site est comme Refeo.com (assez petit), je pense que ce n’est pas vital, même avec comme seul objectif d’améliorer le seo de WordPress.
De même si votre architecture est plate (toutes les pages sont au même niveau), comme l’est Refeo.com, alors, les fils d’Ariane ne présenteront pas d’intérêt, ni en seo, ni en ergonomie.
Pour activer le fil d’Ariane, c’est soit dans votre thème soit avec Yoast WordPress SEO. Pour Yoast, c’est ici : SEO / Avancé / Fils d’Ariane
Attention, tous les thèmes ne le supporteront pas forcément. Si Yoast ne parvient pas à les afficher, il vous faudra modifier le code source du thème.
Source :
https://www.codeur.com/cms/aide/referencement-wordpress/
A ma connaissance, WordPress ne supporte pas les urls accentuées (il les convertit à la volée). C’est bien comme cela, les accents sont à éviter tant en SEO qu’en ergonomie.
WordPress dispose d’un excellent système de mises à jour, que je conseille vivement d’utiliser en ayant conscience des avantages et inconvénients suivants :
+ sécurisation du site (c’est là que c’est un bon point pour améliorer le seo de WordPress)
+ fonctionnalités accrues
+ bugs corrigés
– risque d’incompatibilité entre plugins ou même avec le coeur de WordPress
– difficile de revenir en arrière sans une sauvegarde préalable.
Pour Refeo.com, je mets à jour dès que possible, que ce soit le thème, les plugins ou WordPress et j’ai en parallèle un système de sauvegarde qui fait une copie du site toutes les semaines.
L’intérêt est de faire ces micro mises à jour de manière régulière plutôt que d’avoir à faire de grosses mises à jour (plus risquées) de temps en temps.
Dans le cas où des failles de sécurité touchent un élément de votre site, vous DEVEZ faire les mises à jour correspondantes.
C’est la loi.
Oui, je sais, elle est à peu près inutile, voire même lassante tant le fait de devoir systématiquement cliquer sur « OK, j’ai bien compris que je n’avais pas le choix » est pénible.
Quoi qu’il en soit je conseille malgré tout de le mettre, il n’est pas impossible que Google associe à l’absence de ce genre d’avertissement un signe de non qualité. Et puisque c’est une obligation légale…
Pour faire cela simplement sous WordPress, utilisez le plugin Cookie Notice :
Source :
https://fr.wordpress.org/plugins/cookie-notice/
Structurer un site WordPress en Silo va permettre de créer des zones liées à des thématiques bien identifiées. Des liens viennent ensuite assurer la distribution du jus au sein de chaque silo et même d’un silo à l’autre.
Cet outil SEO avancé est utile pour des sites e-commerce ou des sites éditoriaux riches en contenus et présentant plusieurs thématiques distinctes.
Sur Refeo.com, je pourrais par exemple avoir un silo « SEO » et un silo « Adwords ». Au sein du silo SEO, je pourrais avoir des sous-rubriques telles que les mises à jour de Google (avec des sous-sous-rubriques sur chaque mise à jour) et les techniques de netlinking (avec des sous-sous-rubriques telles que black hat, white hat, grey hat).
Au final, mon site n’est pas assez vaste pour justifier une telle mise en place, j’ai préféré travailler l’ergonomie et le fond plus que l’optimisation seo maximale.
Notez que si vous voulez tirer profit de la puissance des silos, vous devrez utiliser les catégories. C’est une décision lourde à prendre le plus tôt possible dans la vie du site pour éviter de devoir jouer de la redirection 301 en masse !
L’image ci dessus est extraite de la meilleure référence sur le sujet que j’ai pu trouver :
http://www.ninjalinker.com/strategie-seo-silo-cocon-semantique/
Essentiel, vital, fondamental, incontournable.
Le contenu c’est le carburant du SEO, c’est avec du texte que Google va pouvoir trouver des expressions
Pas de contenu = pas de visibilité
Oubliez le contenu généré automatiquement, c’est risqué et probablement détectable dans les années à venir (chaque langue présente des caractéristiques propres en terme de fréquence de mots, l’introduction de mots français de manière aléatoire, par exemple, se détecte très vite).
Vous pouvez alors jouer sur deux tableaux :
Il est difficile de poursuivre les deux en même temps (qualité et volume). Vous devez faire un choix.
A l’heure de l’Inbound Marketing, (le marketing de contenu) et du Lead Nurturing (le travail des inscrits à la newsletter), le choix de la qualité est pérenne.
Je travaille actuellement sur une approche structurée pour faire du volume assez qualitatif (au prix d’une augmentation des coûts…) : cela fera probablement l’objet d’un guide qualitatif à terme !
Bonne nouvelle, cette optimisation du seo de WordPress se fait par défaut. Tout le monde ne le sait pas, mais à chaque fois que vous publiez ou mettez à jour un contenu (page ou article), WordPress informe un service (« Ping-O-Matic ») qui va donner à qui le souhaite la nouvelle de votre contenu.
Pour être tout à fait franc, en terme de trafic, en France, c’est assez limité.
L’intérêt reste essentiellement lié au référencement naturel de WordPress :
J’ai trouvé une longue liste de services à pinger, dois-je le faire ?
Non. C’est typique des spammeurs.
Si malgré tout vous y tenez voici un post bien fait avec une liste décente :
http://www.alsaseo.fr/differents-services-de-ping/
Si vous voulez gagner quelques minutes dans l’indexations de vos posts, vous pouvez aussi aller pinger directement Google : rendez-vous à Réglages / Ecriture et ajoutez cette ligne sous celle déjà en place :
http://blogsearch.google.com/ping/RPC2
La vraie question que je me pose est de savoir si en changeant trois mots dans un contenu, de mettre à jour sa date de publication et de repinger Google pourrait générer un bonus de fraîcheur…
Question purement SEO qui mériterait un test…
Je déconseille de mettre des h1, h2, h3, h4 h5 ou h6 dans les barres latérales. Beaucoup le font par facilité (cela facilite effectivement la mise en page car dans la plupart des thèmes WordPress les balises H sont déjà stylées par des fichiers css), mais au final c’est une mauvaise pratique.
En effet, ces balises servent à structurer un contenu. Là, quelque part, avec cette pratique vous fusionnez le contenu et celui de la barre latérale. Ce qui pourrait prêter à confusion pour un crawler. Même s’il est probable que Google gère cela finement, autant éviter ces mélanges potentiellement défavorable à votre seo.
Utilisez du gras ou d’autres artifices de mise en page.
Si vous voulez plus de détails sur ce débat :
http://www.notuxedo.com/balises-de-titre-et-referencement-sur-wordpress/
Si vous avez des pages actives sur les réseaux sociaux, le plugin WordPress SEO de Yoast va ici encore pouvoir vous aider !
Il y a plusieurs avantages :
Cette partie mériterait un guide à elle seule.
Au final, je vous conseille les éléments suivants :
Pour paramétrer tout cela, rendez-vous à SEO / Réseaux Sociaux, comme le montre l’image ci-dessus pour Twitter :
Des thèmes WordPress, vous en trouverez autant que vous le voudrez !
Des thèmes WordPress optimisés pour le référencement naturel, c’est déjà plus rare !
Voici le cahier des charges pour un thème WordPress :
Pour trouver votre bonheur, voici une market place qui peut classer les thèmes en vente par nombre de vente, ce qui est déjà un premier critère :
http://themeforest.net/popular_item/by_category?category=wordpress
Source :
http://www.wppourlesnuls.com/themes-wordpress-avec/optimise-pour-le-referencement-2/
Les images sous WordPress comme sur n’importe quel site peuvent être de différents formats : gif, jpg, png, voire d’autres.
Quel format choisir pour améliorer le référencement de wordpress ?
Sur ce guide seo WordPress, j’utilise principalement des png pour conserver un maximum de lisibilité à mes images où le texte est présent. Mais s’il s’agit de visuel d’illustration, je passe sur du jpg.
Dans le cas où vous utilisez des fichiers au format jpg, vous pouvez les compresser. Pour le faire, il existe des services en ligne ou vous pouvez un logiciel de traitement d’image. Nul besoin d’aller jusque sur Photoshop, XnView le fait très bien, en lot et gratuitement.
Le lien ci-après vous montre comment le faire dans les moindre détail, vous pouvez largement vous contenter de ne jouer que sur le paramètre de qualité, que vous positionnerez en 30 % et 50 % (pour un tirage sur papier photo, on ne descend pas en dessous de 90%, pour information)
Source :
http://www.eric-bellot.fr/node/63
Un CDN (pour Content Delivery Network) est un serveur destiné à fournir vos fichier. L’objectif est double : se trouver plus près de l’audience (dans le cas d’un site à visée internationale) ou d’alléger la charge du site. Ces deux effets contribuent à améliorer le référencement naturel de WordPress en rendant votre site plus rapide.
Comment mettre en place un CDN pour WordPress ?
Cela se gère soit depuis des plugins dédiés soit, comme pour Refeo.com, dans les options des plugins de mise en cache. J’utilise WP Rocket pour sa simplicité et Amazon… Pour les prix. Voici mes réglages :
A l’origine, les balises alt servent pour les personnes mal voyantes : leur navigateur leur lit ce que contient l’image. Dans les faits les experts du référencement ont largement détourné cela pour améliorer encore un peu plus l’optimisation du seo de leur site.
Au final, voici ce que je conseille pour rédiger des balises alt efficaces :
Je peux profiter des balises alt pour introduire la version sans accent (referencement naturel). N’abusez pas de cette astuce !
Sous wordpress, les balises alt se gère dans la bibliothèque. Quand vous uploadez un media, profitez en pour renseigner le champ appelé « texte alternatif » :
Une légende d’image, sous WordPress, est un texte d’accompagnement du visuel. Avant de faire ce qui n’est pas qu’une optimisation seo, vérifiez que votre thème les affiche, ce n’est pas toujours le cas…
Comme pour les balises, alt, elle se renseignent au niveau du media concerné, dans la bibliothèque, idéalement à l’upload.
Pour rédiger de bonnes légendes :
Le nom des images est aussi encore un endroit pour optimiser le seo de WordPress :
Voici un exemple pour les images de ce guide :
Le lazy loading (ou « chargement différé ») consiste à différer le chargement des images quand l’internaute scrolle à leur hauteur. Derrière cela, toujours l’idée d’aller plus vite, ce qui améliore le référencement du site.
Cependant le lazy loading peut rendre certaines images invisibles pour Google.
Utilisant le lazy loading proposé par WP Rocket, ce problème ne se pose pas.
Si vous besoin d’approfondir la question, voici les bonnes ressources :
http://www.yapasdequoi.com/divers/3730-lazy-loading-d-images-et-seo-sont-sur-un-bateau.html
https://wordpress.org/support/topic/plugin-bj-lazy-load-load-lazy-and-seo
https://github.com/qnimate/Qazy
Un jour, un de mes clients m’appelle pour me dire qu’il ne comprends pas, que son trafic a plongé brutalement. La première chose dans ces situations est de vérifier si le trafic baisse de façon anormale ou s’il s’agit d’un problème conjoncturel. Je vérifie ses Analytics, il semble y avoir un réel problème au niveau du trafic issu du référencement naturel. Le reste est comparable à la situation usuelle.
L’étape suivante consiste à regarder les classements sur les mots clés qui apportent usuellement du trafic. Presque tous avaient plongé : le site n’était plus visible sur ses meilleurs mots clés !
On analyse alors le site pour constater que les posts de son site WordPress sont spammés : plusieurs milliers de commentaires publicitaires. Par mégarde ce client avait paramétré les commentaires pour qu’ils soient validé automatiquement… Le site avait accumulé pas moins de 15000 spams. Après nettoyage (et quelques semaines), le site est revenu en l’état préalable !
Les commentaires sous WordPress, s’ils son mal gérés, peuvent détruire tout votre référencement naturel. Si vous laissez les commentaires en auto approuvés, vous allez récupérer du spam au kilomètre (plusieurs dizaines par jour !).
Ces spams sur votre site sont un signal de mauvaise qualité flagrant et Google va vous déclasser immédiatement.
Pour éviter cela, soumettez les commentaires à validation, et validez-les à la main (personnellement, j’y réponds systématiquement, c’est une forme de remerciement). Ceux qui vous disent juste que votre blog est sympa sont eux aussi à supprimer : 99 % des fois c’est du spam, pour récupérer un backlink. Et tant pis pour votre ego.
Pour vous assurer que les commentaires sont bien soumis à validation, c’est dans Réglages / Discussion :
Hélas, la modération manuelle va vite vous fatiguer tant les spam sont nombreux.
La solution passe par le plugin Akismet, redoutablement efficace. Parfois trop, je préfère prévenir, vous aurez parfois des faux positifs (des commentaires légitimes marqués somme spam)…
Pour ceux qui n’auraient jamais eu la chance de voir un spam :
Notez le bouton qui fait du bien : « supprimer tout ». N’hésitez pas !
Attention aux fichiers pdf en téléchargement libre : le vrai risque est le contenu dupliqué de votre site. Une page reprise sous forme de pdf, c’est deux fois au moins le même contenu sur votre site, à éviter pour améliorer le seo de WordPress !
Donc si c’est un contenu identique à ce qui est en ligne, ne les indexez pas (utiliser des liens nofollow pour les lier). Si c’est du contenu additionnel, utiliser un lien normal.
Pour mettre un lien au format nofollow dans WordPress sans plugin, afficher la source dans la fenêtre de rédaction et transformez le lien du type ancre en ancre.
Pour ceux qui comme moi aiment les plugins, le plugin WordPress Ultimate Nofollow fait le job :
Source :
https://fr.wordpress.org/plugins/nofollow/
Dernière astuce pour les fichiers pdf : intégrez-y toujours un lien votre votre site, si le pdf venait à être hébergé ailleurs, vous auriez alors un backlink. Il n’y a pas de petit profit.
L’autre intérêt est de donner une source à votre pdf. Si le lecteur le trouver pertinent, il pourra alors visiter la page ou le site. Ce genre de trafic est rare, mais toujours très qualitatif, simplement parce que le visiteur vient avec l’idée que vous connaissez votre métier !
Le netlinking, c’est le fait de recevoir des liens depuis d’autres sites vers le vôtre (des « backlinks »). Aux yeux de Google, cela s’apparente à un vote. La conséquence est que vos classements s’améliorent. La création de backlinks n’est pas à proprement parler une optimisation du référencement naturel de WordPress. Tout site web profite de backlinks de qualité pour améliorer son référencement naturel.
Attention !
Tous les backlinks ne se valent pas. Si avant 2012, vous pouviez faire comme bon vous semble, Google a largement modifié la donne avec sa mise à jour Pingouin. Pour résumer cette mise à jour a introduit l’idée que des liens pouvaient être contreproductif et même que Google pouvait vous sanctionner s’il estimait votre profil de liens non naturel.
Qu’est-ce un qu’un bon backlink ?
Un bon rétrolien (c’est le terme français) est notamment :
Comment obtenir des backlinks de qualité ?
Aujourd’hui la solution la plus fiable consiste à effectivement produire un contenu qui mérite le détour et, surtout, à la promouvoir activement.
Pour un exemple détaillé, je vous convie à lire mon guide sur « comment j’ai atteint la première page de Google en 30 jours ».
Besoin d’aller ENCORE plus loin ?
Suivez le guide les techniques pour acquérir des backlinks :
Source :
http://editoile.fr/bien-referencer-son-blog-wordpress-en-3-etapes/
En terme de seo pour WordPress, il n’a jamais été démontré l’impact direct des mentions (likes, retweets, +1, etc.) sur l’amélioration du référencement naturel.
Alors, pourquoi travailler les réseaux sociaux ?
Parce que l’impact seo existe, même s’il est principalement indirect.
Si vos contenus pertinents sont partagés sur les réseaux sociaux, vous allez augmenter votre trafic. Ce trafic va pouvoir découvrir la valeur ajoutée de vos contenus et la repartager voire, dans l’idéal, en parler depuis un site (forum ou, mieux, blog). C’est là que vous obtiendrez un backlink qui lui vous aidera énormément à progresser dans les classements de Google.
Dois-je payer pour faire la promotion de mes contenus ?
Oui, sans l’ombre d’un doute. Si votre contenu est réellement intéressant (tant sur le fond que sur la forme), le rendre visible en payant va doper significativement le trafic.
Combien coûte la publicité sur les réseaux sociaux ?
Evidemment cela dépend du marché sur lequel votre blog WordPress se trouve. En serrant les coût je parviens à acheter des clics sur mes tweets sponsorisés aux alentours de 0,30€, à comparer aux 5€ que coûte un clic Adwords. Attention, les conversions ne sont pas forcément aux rendez-vous, on est plus proche du « branding » que de l’acquisition de clients.
L’idée au-delà de la seule optimisation du seo de WordPress est aussi de montrer vos compétences. Si un visiteur découvre vos écrits et vous trouve pertinent, vers qui ira-t-il lorsqu’il aura besoin d’acheter une prestation dans vos compétences ? Vers vous !
Dans WordPress, les pings informent que vous avez fait un lien. Si le site est un wordpress, il aura alors un trackback, à savoir un commentaire dans la page recevant le lien lui donnant l’origine du lien et un peu de contexte.
Dois-je accepter ou non les trackbacks ?
Il s’agit effectivement de liens que vous allez faire vers le site qui vous a émis un lien, rendant de fait le lien réciproque. Mais les trackbacks de WordPress sont en nofollow, c’est à dire que le code source indique au moteur de recherche de ne pas tenir compte de ce lien.
Donc en terme de seo pour WordPress, libre à vous d’accepter ou non les trackbacks.
Je vous conseille de les valider s’ils ajoutent une valeur pour vos lecteurs !
Je suis consultant indépendant en AdWords et SEO depuis plus de 10 ans. J'ai investi pour le compte de mes clients plus de 3 000 000 € de clics sur Google. Je suis auteur l'auteur du livre Trouvez des Clients avec AdWords. Bonne lecture !
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